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Green Kiss répond à toutes mes questions sur le CBD !*
Le CBD est l’abréviation de cannabidiol, une molécule organique produite naturellement par les fleurs de chanvre. C’est un des nombreux phyto cannabinoïdes présents dans la plante.
Le THC (delta-9-tetrahydrocannabinol), est le phyto-cannabinoïde le plus présent dans la plante de cannabis (chanvre).
Plus d’une centaine de cannabinoïdes ont été répertoriées dans la plante, mais le THC et le CBD en sont les principaux, les plus abondants.
Ces deux cannabinoïdes ont la même composition chimique; Les 2 molécules possèdent chacune 26 atomes (21 de carbone, 3 d’hydrogène, 2 d’oxygène) mais c’est la fonction chimique de certains qui fait toute la différence.
De fait, le THC a des effets psychoactifs, il agit sur le système nerveux central et est classé comme stupéfiant.
Le CBD n’ayant pas d’effets psychoactifs, n’est pas classé comme stupéfiant. Il est donc légal, non addictif et n’a pas d’effets secondaires indésirables.
Complémentaires ou totalement opposées ? C’est tout le débat, tant d’un point de vue légal que thérapeutique autour de ces deux molécules à la fois si proches et que les effets “planant” du THC sont ralentis, même contrebalancés par ceux, “calmant”, du CBD.
Ils limiteraient le stress, l’angoisse et même le sentiment d’addictions et pourraient, avec un dosage adéquat, agir comme un substitut pour éliminer le sentiment de manque.
Néanmoins, certaines études laissent penser que les 2 molécules seraient finalement plus complémentaires que prévues. Leur différence, au lieu de les opposer, augmentent leur complémentarité. Le Yin et le Yang en somme !
Le système endocannabinoïde (SEC) du corps humain a été découvert suite aux recherches effectuées sur les phyto-cannabinoïdes du cannabis. D’où son nom. Et le SEC est peut être le système physiologique le plus impliqué dans la préservation de la santé humaine.
Il est doté d’endocannabinoïdes (eCB) et de récepteurs, qu’on peut scinder en deux types, CB1 et CB2. Les récepteurs CB1 se trouvent principalement dans la région du cerveau et dans le système nerveux central. Ils agissent sur la mémoire, l’humeur, la fonction motrice, la perception de la douleur …
Les récepteurs CB2 se trouvent plus généralement sur les cellules du système immunitaire, ils régulent les inflammations et la réponse immunitaire aux agents pathogènes (arthrite, asthme, allergies…)
Le THC et d’autres eCB, comme l’anandamide, peut se lier aux récepteurs CB1 (principalement comme au CB2). Le CBD, lui, agit sur la capacité des récepteurs à se lier aux cannabinoïdes. L’unique but de tout cela étant de rétablir de l’homéostasie, maintenir ou rétablir un environnement interne, stable face aux dérégulations d’un environnement externe.
Question simple, mais dont la réponse s’apparente à un véritable casse-tête car, à ce jour, il n’existe aucune législation claire en France sur le CBD.
Pire, les interprétations divergentes des uns et autres, sur les différents arrêtés régissant le sujet, brouillent encore un peu plus les pistes.
Depuis le 30 décembre 2021, un arrêté visant l’interdiction de la vente de fleurs brutes de CBD fait débat. En attente de confirmation, les acteurs du secteur se prépare à faire appel à la juridiction Européenne.
Comme lors de son dernier jugement du 19 novembre 2020 rappelant à la France l’illégalité de l’interdiction de la commercialisation du cannabidiol.
Ce que l’on peut dire (sans l’affirmer toutefois), en tout cas ce sur quoi s’appuient les nombreux acteurs du CBD en France, c’est qu’il semble acquis qu’un produit CBD (huiles, crèmes, e-liquides…) soit légal à la vente et à la consommation.
Le fameux seuil légal de 0,03% de THC, à ne pas dépasser, concerne la plante elle même pas le produit fini. La présence de THC dans les produits finis, quel que soit son taux, est interdite !
Les fleurs de CBD offrent une large proposition d’‘arômes (flavonoïdes, terpènes…) qui ne sont pas tous reproductibles avec des huiles de CBD.
Ces effets sont plus rapides et plus intenses qu’avec l’huile, et vous pouvez commencer à ressentir les effets en 10 minutes.
Les effets de l’huile (niveau de puissance) peuvent varier selon certains critères, notamment la plante dont elle est extraite et le mode d’extraction. Avec un peu d’expérience, il devient facile pour l’utilisateur de connaître le bon dosage recherché.
Ces trois modes de cultures ont leurs particularités.
Commençons par la culture en extérieur (outdoor), la façon la plus naturelle de cultiver le chanvre grâce aux bienfaits de “Mère Nature”. Elle pousse à son gré, avec des bourgeons moins parfaits, plus de feuilles autour des sommités…
Les fleurs outdoors sont même plus économiques à l’achat.
Le terme Greenhouse désigne la culture sous serres. Lumière du jour et terres naturelles, avec une protection contre les intempéries, cette culture combine les avantages de l’indoor et de l’outdoor. Une approche plus respectueuse de l’environnement que l’indoor, moins onéreuse aussi, avec un contrôle du cultivateur sur les paramètres de culture.
La culture indoor, à l’intérieur donc, se pratique dans des hangars, généralement équipés d’une technologie de pointe qui donne aux producteurs le contrôle et la croissance des plants s’en trouve optimisée. Le processus est plus onéreux certes, mais la qualité des fleurs est sans pareil.